Les jumelages, une vraie opportunité pour les associations
La Ville d’Esch a mis en place un système de subside extraordinaire pour les associations présentant un projet dans le cadre du jumelage. Pour l’année 2022, une somme de 20.000 Euros est allouée aux les associations soumettant un projet accentuant les relations culturelles, sportives, la jeunesse, les personnes âgées, l’environnement et le développement durable ainsi que la défense des droits humains.
Des projets à des fins commerciaux, politiques ou touristiques ne seront pas pris en considération. Chaque projet retenu, après avoir été soumis à l’analyse, a droit à un cofinancement jusqu’à 2.000 Euros.
Qui peut demander un cofinancement ?
Toute association ayant son siège social sur le territoire de la ville d’Esch-sur-Alzette pourra introduire un projet avec une demande de cofinancement. Le porteur de projet informera sur d’éventuels autres subsides communaux accordés.
A qui s’adresser ?
Les projets devront être soumis par mail à l’adresse jumelages[arobase]villeesch.lu ou par voie postale à Ville d’Esch-sur-Alzette – Département de la politique transfrontalière, des jumelages et des affaires européennes (Boîte postale 145) L-4002 Esch-sur-Alzette.
Les jumelages existants
- Puteaux (France)
- Offenbach am Main (Allemagne)
- Mödling (Autriche)
- Zemun (Serbie)
- Vellettri (Italie)
- Liège (Belgique)
- Lille (France)
- Cologne (Allemagne)
- Turin (Italie)
- Rotterdam (Pays Bas)
- Coimbra (Portugal)
- João de Monlevade (Brésil)
- Stryi (Ukraine)
Renforcer des liens autre fois très denses
Depuis 1956, la ville d’Esch-sur-Alzette entretient des relations de jumelage avec 12 villes. Cette mesure a pour but de renforcer ces liens, des rencontres citoyennes et des activités entre associations. Le but des échanges et de l’engagement international de la ville d’Esch-sur-Alzette est de contribuer activement au rapprochement des citoyens et l’échange de bonnes pratiques entre administrations et associations. Les échanges entre villes jumelées étaient très denses dans les années 80 et 90 au niveau culturel et sportif. L’évolution de notre société a, malheureusement, comme conséquence que les relations se font plutôt par réseaux sociaux que par contacts directs.